J+6, les paillettes sont tenaces, à en trouver toujours, collées sur l’oreiller.

Fin de l’été indien, 8 ans et un Gâteau géant, croisé au bord d’une plage, couleur coucher de soleil.

12 octobre d’un automne encore doux. Quelque part à Marseille. Tu as emprunté la route des Goudes, en vélo, en voiture. Ligne 19.
Tu la connais cette plage et le charme discret des cabanons d’ici ? Un parking en gravier et en face l’escalier, avant c’était Dédé. Ce soir, on balise en rouge le sable, de bâtons de marche qu’on t’invite à saisir.
La Barbade à Marseille, l’ananas embaume tout, top pyrotechnie !

Distribution de Piña Colada du Gâteau qui t’emmène, jusqu’à un lieu magique ! Le Gâteau qui ne passe pas. Escalier trop petit, tant pis, on se retrouve en bas.

Et puis, dos contre roche face à la ville, une boom à ciel ouvert, d’un lieu un peu caché chatouillé par l’écume et d’une lune presque pleine. Tu le connais ce quai ? Investi par les graffs et puis les gens d’ici, les noubas de l’été, la nuée que l’on est. La nuit, et…

Le feu,
Les guirlandes, la lumière, et les fanions dorés.
La musique, l’Horizon qui se lève, le ciel de Marseille et le sol qui s’habille d’un jeu révélé à l’U.V.
« Quel·le fêtard·e es-tu ? » On tatoue de peinture des chemins à emprunter… Disco ? Etienne Daho ?

Toutes les routes mènent ici !